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TÉMOIGNAGES
RETOURS DE MISSION

Un groupe de personne en train de parler en pleine rue

 Ce jour là, après plusieurs déconvenues et après une courte prière à Jésus pour nous diriger vers les bonnes personnes, nous avons rencontré Samuel, la vingtaine. 

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 Samuel est apparu tout de suite très intéressé par notre démarche. Sensible à la question de Dieu,  il essaie de prier une fois par semaine à l'église Saint Eustache, proche de son lieu de travail. 

Au moment de notre rencontre,  il en sortait, après avoir adressé à Dieu cette demande:  «Si tu veux quelque chose pour moi,  montre-moi comment avancer vers toi» 

​Après une belle discussion, sur l'appel de Samuel par le prophète Élie notamment, 

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Samuel nous a demandé comment 

entamer la préparation au baptême. 

 

 Et c'est chose faite depuis cette rencontre!  Merci Seigneur! 

 Anne-Claire 

un groupe de personne en train de discuter

 Quand nous nous approchons de Léa, elle nous accueille avec un grand sourire (pas si fréquent dans l’expérience des missions de rue !). 

 

 De tradition musulmane, elle se dit croyante mais ne s’identifie pas à une religion concrète. Elle a envie de creuser, de lire la bible, le coran, l’évangile. 

 Nous lui parlons de Jésus, de notre relation avec lui,  nous témoignons de la façon dont il a changé notre vie,  et dont il en fait partie au quotidien. 

 Elle nous écoute avec un grand intérêt ; ce que nous lui disons semble faire écho en elle.

Ensuite nous lui proposons de prier pour elle :  « je ne l’ai jamais fait avec d’autres mais oui, bien sûr, avec plaisir ». 

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 Elle ressort visiblement touchée et très reconnaissante de ces quelques minutes où nous avons rendu grâce pour sa vie,  et où nous l’avons confiée au Seigneur dans sa recherche de Lui. 

 

 Nous l’invitons à l’Escale pour le dimanche suivant, et elle nous remercie chaleureusement de ce moment… une très belle rencontre pour nous trois, dont nous ressortons aussi le cœur plein de joie. 

 Astrid 

des personnes qui évangélisent

 En juillet, nous rencontrons Fabien, un jeune d’une trentaine d’années. 

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 Il n’est pas croyant, dit ne pas se poser la question de l’existence de Dieu. Nous insistons un peu et  finalement, c’est lui qui nous demande si nous avons du temps à lui consacrer. 

Nous prenons toutes ses questions, les unes après les autres. Il y en a en fait beaucoup ! 

Le célibat des prêtres, l’abstinence, le protestantisme, les écrits bibliques, le rôle du Pape, le mode de vie chrétien … 

 

En répondant, nous témoignons aussi du lien personnel qui nous unit à Dieu et éclaire notre regard de l’intérieur sur ces questions. 

Au bout d’une bonne heure de conversation, 

 

il nous demande : " si je  voulais envisager la possibilité que Dieu existe, 

ouvrir une porte comme vous le dites… comment faire ? " 

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Nous l’invitons simplement à s’adresser à Dieu, en reprenant sa formulation, au conditionnel : "si tu existes, révèle-toi à moi". 

Il accepte de tenter l’expérience, et demande une reprise de contact à la rentrée ! 

 Albane 

échange entre trois personnes en pleine rue

 En septembre, à l'occasion de ma première mission de rue, nous rencontrons Gabriel. C'est un jeune, étudiant, libanais comme moi, anciennement croyant. 

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 Nous lui indiquons que nous sommes catholiques et lui proposons d'échanger sur la foi. Il ne semble pas complétement fermé à l'échange, mais rétorque aussitôt qu'il est devenu "athée et agnostique", notamment à cause de son homosexualité. 

 

Très vite, il nous amène sur un terrain très rationnel.  Ayant été à l'école des Jésuites au Liban, il dispose d'un certain background théologique et démonte chaque point que nous abordons. 

 Nos efforts ne portent pas de fruits.  Nous aboutissons très vite à une impasse. Nous ne pouvons plus argumenter. 

Nous l'écoutons et prions. Étonnamment, cette écoute s'avère être féconde. 

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 Il est touché par notre manière de le regarder. Son armure se fend peu à peu jusqu'à aborder son mal-être et sa solitude affective. 

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 Nous lui parlons de la prière et lui proposons de demander à Dieu qu'il se manifeste à lui et qu'il l'aide. Nous lui expliquons que nous ne cherchons pas à l'endoctriner, mais à lui partager ce trésor qu'est la foi. Nous voulons qu'il soit heureux, vraiment heureux, ni plus, ni moins. Il est touché par nos paroles. 

Il accepte même que nous prions pour lui à ses côtés. Nous finissons cette rencontre par de chaudes accolades et un échange de numéro. 

Encore aujourd'hui, nous échangeons régulièrement avec Gabriel. 

Il est ouvert à nous revoir et entend reprendre contact avec Dieu. 

 Marc 

trois personnes en train de discuter

 En octobre, en toute fin d'Escale, nous rencontrons Max, trentenaire, qui entre dans l'église d'un pas hésitant. 

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 Nous lui proposons à boire et engageons la  discussion avec lui. 

 Il dit avoir ressenti un désir, un besoin de  rentrer dans l'église, en passant devant par hasard. 

Nous lui demandons s'il est de tradition chrétienne et répond qu'il priait beaucoup à l'époque et était même engagé dans un groupe de prière plus jeune. 

 

Il se met à pleurer tout en exprimant son désir de renouer avec sa foi, 

 

malgré un emploi du temps chargé qui semble l'avoir éloigné de Dieu et une foi qui, très jeune, lui a été imposée par son entourage. 

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Nous lui proposons donc de rester en contact et échangeons nos numéros. 

Il semble très touché par la démarche et prend la résolution de revenir à l'Escale. 

 [Mais c'est quoi L'Escale ?

 Marc 

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